Tu es un mauvais vendeur
Je me suis retrouver avant-hier devant le grand frère Sylvestre Magloire TAMO qui en quelques minutes de conversation m’a directement dit : « Tu n’es pas un bon vendeur ».
Il m’était pénible de l’avouer avant, mais plus maintenant parce que c’est la vérité. Je lui ai répondu : « En effet je ne suis pas un bon vendeur ».
Mais il ne s’est pas arrêté à me dire que je ne suis pas un bon vendeur, il m’a demander si je sais ce que c’est qu’un « pitch » et oui, je le savais. Mais pourquoi n’ai-je pas utiliser ce pitch alors qu’il voulait ardemment que je lui parle de ce que j’avais à vendre ?
La réponse est simple, je ne suis pas encore inconsciemment compétent quant à faire mon pitch. Et la compétence inconsciente s’acquiert lorsque ce pour quoi on veut devenir inconsciemment compétent s’installe dans notre ADN.
J’ai essayé de lui faire mon pitch mais ce n’était plus le bon moment, j’ai loupé mon timing.
Leçon 1 = être prêt à se vendre et à vendre son produit le plus tôt possible.
Je sais que je suis un vendeur médiocre et je me suis lancer dans ma formation pour en devenir un. Mais pourquoi devenir un bon vendeur ? Lorsque la vente est objet de mépris et quasiment considérée comme hérétique, pourquoi devenir un excellent vendeur ?
Une fois de plus je me laisse enseigné par le grand-frère en quelques minutes d’échange.
La communication
Lorsque voulant me rattraper je faisais mon pitch, il m’a saisie au vol et une autre leçon est tombée.
En lui parlant de la puissance du vocabulaire il m’a saisie au vol en me disant : « Quand tu parles de vocabulaire, je dirais la communication. Ta compétence en communication est déterminante dans ton activité, parce que ta compétence en communication te permet d’augmenter tes ventes, d’agrandir ton réseaux et de pouvoir vendre. »
Je ne peux dire à quel point c’était vrai.
Notre niveau de vocabulaire détermine la qualité de notre communication. Si je ne connais pas communiquer je suis limité dans les niveaux que je peux atteindre. En terme de développement de mon activité, du partage de ma vision, de la vente de mon produit et de ma promotion je suis extrêmement limité.
Leçon 2 : Ton niveau de vocabulaire = Ton niveau de communication = ton revenu = le niveau que tu peux atteindre dans la société
La profondeur de vision
Il te faut la profondeur de vision.
Il m’a dit encore : « Quand tu veux me parler de ton produit ne penses pas à ce que tu peux me vendre tout de suite et donc à l’argent que tu vas te faire tout de suite. Il faut voir les sommets que tu peux atteindre avec moi.«
Il me disait en quelque sorte que tu peux m’utiliser comme effet de levier pour pouvoir atteindre une clientèle plus grande. C’était pour moi une nouvelle preuve que les groupes de mots « effet de levier » et « profondeur de vision » ne sont pas encore dans vocabulaire et donc je ne les vis pas encore.
Je connais de mémoire les 2 groupes de mots, mais je ne les vis pas, il ne sont pas une partie de moi, je ne les ai pas intégré dans ma structure cellulaire. Comme dirait l’autre, le mot n’est pas devenu chair. C’est exactement comme je connais le mot pilotage, mais je ne sais pas piloter.
Lorsqu’un mot est intégré dans notre ADN (le mot devient chair), nous pouvons non seulement le voir mais aussi l’appliquer de façon inconsciemment compétente. C’est le cas comme notre respiration ou notre nom. Nous connaissons notre nom même sans avoir à y penser et nous respirons sans avoir à y penser parce que c’est intégré dans notre ADN et nous le faisons de façon inconsciemment comptétente.
Si donc les groupes de mots « effet de levier » et « profondeur de vision » était intégré dans ma structure cellulaire, mon ADN, ma chair, j’aurais automatiquement appliquer cette connaissance sans même avoir a y réfléchir devant le grand frère Sylvestre Magloire TAMO.
Leçon 3 : connaître mais ne pas faire n’est pas connaître.
Conclusion
C’est pour devenir un excellent vendeur que je travaille à masteriser ma compétence en communication pour automatiser ma profondeur de vision que j’utilise un outil d’éducation futuriste.
Je dois avouer que j’éprouvais une certaine gène à parler de mon produit, a faire ma promotion. Ce sont des limitations communes à beaucoup et ces limitations ne sont la conséquence que de l’éducation que nous avons reçu et entretenu en notre sein comme étant vraies, et cela abouti à des loupés lamentables comme ce fut le cas avec moi face au grand frère Sylvestre TAMO.
La meilleure façon de neutraliser ces limitations c’est augmenté son vocabulaire (pour cela j’ai l’outil qu’il faut) et pratiquerencore et encore et encore avec le travail de ceux qui le font bien mieux et depuis plus longtemps que moi.
Merci Sylvestre TAMO
I’m in my way.
Crédit photo : Sylvestre Magloire Tamo