POURQUOI AVOIR UN MENTOR

Introduction

Depuis la création du monde, les connaissances et les compétences sont transmises via l’enseignement. Cela suppose que cette transmission se fait de la personne qui détient la connaissance et la compétence vers celle qui en a besoin. D’un mentor à un apprenti. Notre siècle et nous qui y sommes appartenons avons une réalité qui nous est propre : la disponibilité de l’information.

L’INFORMATION

Jamais depuis des siècles, depuis le début de l’histoire moderne des hommes sur terre, l’information n’a été aussi disponible, mais encore plus aussi abondante qu’à notre époque.Jamais. En quoi cela est-il un atout ? Imaginez dans votre tête un domaine, n’importe lequel et pas forcément celui de votre But Précis. De l’infiniment petit à l’infiniment grand. N’importe lequel.

Eh bien ! Voici la bonne nouvelle : Il existe des informations dans ce domaine.Voici un scoop que j’ai pour vous. En 2010, dans son ambition folle de numérisation, tous les livres uniques qui existent et qui ont déjà existé, donc produits et conservés depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, sont dans le collimateur du géant Google. Ce dernier avance même un chiffre. En se basant sur les ISBN et plus de 150 autres sources, le géant américain estime que le nombre de livres que l’humanité connaît et a connu est de 130 millions environ (plus précisément 129 864 880). Et ce nombre augmente à mesure que de nouveaux livres sont publiés.

C’est fou hein ! 130 millions ! Qui l’eut cru ?

Cela signifie pas moins de 50 millions de mentors possible. Pas mal ! Si on vous demandait de citer des sujets, n’importe lesquels arriverez-vous à en citer 500 ? Arriverez-vous à en étudier pleinement 250 ? Soyez tranquille, vous en avez 130 millions. Il y a de quoi faire. Du minuscule électron à la gigantesque galaxie, des données et des informations détaillées existent et sont disponibles. Du roller au vaisseau spatial. De la cuillerée à café d’eau à l’océan. De la fourmi au dinosaure. De l’herbe au séquoia. Tout ce à quoi vous pouvez penser. Il existe des informations. Dans une telle abondance de sujet, les mentors ne sauraient manquer.

Voici ce qu’en dit Sénèque dans son livre « De la brièveté de la vie » (en téléchargement libre sur Internet) XIV.1,2 : « (1) Ceux−là seuls jouissent du repos, qui se consacrent à l’étude de la sagesse. Seuls ils vivent ; car non seulement ils mettent à profit leur existence, mais ils y ajoutent celle de toutes les générations. Toutes les années qui ont précédé leur naissance leur sont acquises. À moins d’être tout à fait ingrats, nous ne pouvons nier que les illustres fondateurs de ces opinions sublimes ne soient nés pour nous, et ne nous aient préparé la vie. Ces admirables connaissances qu’ils ont tirées des ténèbres et mises au grand jour, c’est grâce à leurs travaux que nous y sommes initiés. Aucun siècle ne nous est interdit : tous nous sont ouverts ; et si la grandeur de notre esprit nous porte à sortir des entraves de la faiblesse humaine, grand est l’espace de temps que nous pouvons parcourir. (2) Je puis discuter avec Socrate, douter avec Carnéade, jouir du repos avec Épicure ; avec les stoïciens, vaincre la nature humaine ; avec les cyniques, dépasser sa portée ; enfin, marcher d’un pas égal avec la nature elle−même, être contemporain de tous les siècles. Pourquoi, de cet intervalle de temps si court, si incertain, lie m’élancerais−je pas vers ces espaces immenses, éternels, qui me mettraient en communauté avec les meilleurs des hommes ? »

Vous rendez-vous compte qu’il y a 2000 ans qu’il l’a dit et il y avait déjà à cette époque tant d’informations. À combien plus forte raison à la nôtre ? Oui sans aucun doute à cela, beaucoup d’informations ont été trouvées et documentées dans des livres, non seulement pour nous, mais aussi elles nous survivront pour les siècles avenir.

Mais le plus merveilleux encore, c’est que vous pouvez avoir accès à beaucoup de ces informations trouvées et documentées. Avec beaucoup plus de facilitée encore que jamais. Grâce à une seule chose : Internet. Mais il y a mieux que la disponibilité de l’information. Oui, beaucoup mieux encore.

L’INFORMATEUR

Non moins important que l’information elle-même, l’informateur, celui qui rend l’information disponible, est lui-même aussi disponible.Quelle aubaine ! Mais il faudra bien faire la différence entre l’informateur et le mentor. Il y a encore quelques années de cela, c’était impossible de seulement contacter une personne en moins de trente secondes. Il fallait mettre du temps, des jours, des mois ou même des années pour envoyer un courrier à quelqu’un qui se trouve seulement à quelques centaines de kilomètres. Cette époque est révolue maintenant.L’aubaine se trouve dans la disponibilité même de l’auteur de l’information. Les moyens de communication sont légion aujourd’hui :

  • Courrier
  • Courriel
  • Messagerie instantanée
  • Réseaux sociaux
  • Téléphonie
  • Vidéoconférence

Mettre l’information à disposition aujourd’hui n’est plus qu’une question de seconde. Les imprimeries et médias classiques ne sont plus les seuls moyens par lesquels on peut diffuser l’information. Et même, depuis soi-disant Gutenberg et Marconi, l’imprimerie et les médias se sont dotés d’une vélocité, d’une facilité et d’une fiabilité impressionnante. Codifier l’information est devenu plus une question de détention intellectuelle de l’information que de technique de diffusion de l’information. Les hommes et femmes se donnent à cœur joie de partager ce qu’ils savent de toutes les façons possibles au plus de personnes possibles, et c’est tout à leur honneur.

Cette facilité a ses avantages et ses inconvénients bien sûr. Et c’est en cela l’une des raisons primordiales pour laquelle nous avons tous besoin d’un mentor. L’un de ses plus pugnaces inconvénients est résumé dans cette expression : « la forêt qui cache les arbres ». Nous sommes à l’heure de la surcharge d’information. Non seulement plus il y a d’infos plus il y a de stress, mais encore la multitude d’informations peut avoir pour incommodité majeure de masquer la vraie et bonne information et par voie de conséquence le vrai informateur. Dans ce contexte, il est facile de confondre l’informateur et le mentor. Et ce n’est pas une mince affaire, ni quelque chose à prendre à la légère. Parce que faire usage de la mauvaise information ne peut conduire qu’à de mauvais résultats. Et cette mauvaise information n’est pas répandue le plus souvent avec de mauvaises intentions. Donc il faut sélectionner avec soin celle que l’on reçoit et donc celui qui la partage.

De toutes les façons, la bonne nouvelle est que l’informateur est presque toujours disponible. Nous sommes dans le siècle où il est facile de l’avoir prêt de nous et où il est d’ailleurs disponible si vous arrivez à le joindre. Mais il y a derrière notre petite tête souvent une voix qui nous dit de ne surtout pas nous approcher du détenteur de la bonne information, sous la fausse idée qu’il ne voudra certainement pas partager ses connaissances. Qu’il ne veut pas de la concurrence. Cela peut être vrai, mais cela peut aussi s’avérer faux. La seule façon d’en avoir le cœur net, c’est d’aller à sa rencontre et c’est de cette rencontre que vous pourrez savoir si vous avez affaire à un simple informateur ou à un véritable mentor.

Dans la plupart des cas et selon mon expérience, les détenteurs de bonnes informations sont toujours bien disposés à partager leurs connaissances avec toute personne qui montre de l’intérêt pour leur(s) information(s) ou leur(s) domaine(s) d’expertise. De toutes les façons, si un obstacle se tient entre vous et votre rêve, que faites-vous ? Vous trouvez une solution ! J’en ai fait l’expérience personnelle dans tellement de domaines. J’ai pu entrer en contact direct avec Millie Lavoisier lorsque je m’intéressais au Multi-Level Marketing sur internet, avec un expert phytosanitaire dans l’agriculture, dans le monde de l’édition, un expert dans l’immobilier, un expert dans l’email marketing, etc. Par contre, le plus difficile ou plutôt le moins facile est ailleurs. Il s’agit de décoder l’information, les données accumulées.

LE DÉCODEUR

Décoder l’information prend du temps, de l’énergie, des ressources, et beaucoup d’autres facteurs. Il nous serait impossible de les énumérer tous. L’une des raisons singulières de cette difficulté vient du fait qu’il faut être beaucoup plus attentif sur 2 points cruciaux :

  1. le Vocabulaire
  2. la Source

1- Notre vocabulaire

Parlons tout d’abord de notre vocabulaire. Il est très peu connu malheureusement que c’est notre niveau de vocabulaire qui détermine notre niveau de compétence et de réalisation dans la vie. Comment cela ? Si votre mentor utilise des mots que vous ne comprennez pas, vous ne pourrez rien apprendre donc rien réaliser donc vous n’atteindrez pas votre BUT. Si votre mentor parle en chinois et que vous ne comprenez pas le chinois, le problème ne se situe pas au niveau de votre capacité à appliquer les instructions, mais bien évidemment au niveau de votre capacité à décoder l’information reçue.

Votre problème est votre vocabulaire inconscient.

Votre problème c’est votre vocabulaire inconscient

Mais ce que je viens de dire pour le chinois est tout aussi vrai pour le français, l’anglais et toutes les autres langues même si vous croyez comprendre ou parler le français l’anglais et toutes les autres langues ou même si vous êtes de la même langue que votre mentor. Voici comment ça se passe. Votre BUT PRÉCIS c’est d’être un investisseur dans les marchés financiers par exemple. Votre mentor vous parle de « passif«  et « actif« . Vous avec bien entendu les expression « passif«  et « actif« , mais vous ne savez que ce que veut dire « passif«  et « actif » en definission dans le dictionnaire. Et même si vous pouvez consulter le dictionnaire pour en avoir les définissions, il ne vous dit pas comment donner vie à ces définissions dans votre vie quotidienne. il n’intègre pas ces informations dans votre inconscient.

Vivre une mot ce n’est pas en connaitre l’existence de façon conscient et en connaitre éventuellement la définition. Beaucoup de personnes connaissent beaucoup de mots et pourtant ils ne vivent pas ces mots simplement parce que ces mots ne sont pas intégrés en eux comme le mot « marcher ». Ils marchent parce qu’ils vivent ce mot. Mais beaucoup n’ont pas le mot « riche » comme vocabulaire intégré au niveau insconscient et donc ils ne seront pas riches. De la même façon, le mentor vit les « passif«  et « actif » à la différence de vous l’aspirant investisseur. Et c’est cette vie des mots, ce vocabulaire que vous n’avez pas et donc vous avez besoin d’un mentor pour vous aider à faire vivre ce vocabulaire en vous comme il est vivant en lui. Ceci inclut automatiquement que si ce vocabulaire n’est pas vivant dans votre mentor il ne pourra pas vous le transmettre, il vous transmettra ce qui est vivant en lui.

Le mentor qui parle de « passif«  et « actif » connait ces mots parce qu’il les vit et il les vit parce qu’ils font partie de son vocabulaire insconscient. Il n’a pas besoin d’un effort congnitif pour savoir qu’il est en face d’un « actif » ou d’un « passif« , de la même façon que vous ne fait aucun effort conscient pour marcher. Il vit les « passif«  et « actif » comme vous vivez la marche, c’est votre vocabulaire inconscient.

Votre vocabulaire inconscient est donc limité et il est la cause première des milliers d’échecs dans le monde aujourd’hui. Johnson O’Connor l’a prouver depuis les années 1920 avec ses recherches lorsque la société General Electric l’a recruter pour résoudre leur problème d’employé inadaptés. Pour réussir dans n’importe quel domaine donc, il faut en intégrer le vocabulaire au niveau inconscient pour pouvoir le vivre. La méthode pour le faire le plus facilement du monde est décrite dans ce lien. Cliquez pour intégrer n’importe quel vocabulaire dans votre inconscient pour en avoir les résultats dans la vie.

2- La Source

Il y a ceux qui « reportent » l’information et ceux qui sont « la source » de l’information. Il y a le simple informateur et le mentor qui détient l’information et informe effectivement. En quoi cela a-t-il une valeur quelconque ?

Votre BUT PRÉCIS, celui que vous avez défini et qui va donner un sens à votre vie et vous apporter le succès, vous n’êtes pas le premier à l’avoir fixé. Vous n’êtes pas le seul à le fixer en ce moment. Et, d’ailleurs, vous ne serez pas non plus le dernier à le fixer. Des gens l’ont fixé, mais plus important encore, ils l’ont atteint. Alors à qui vous serait-il préférable de vous adresser pour avoir des informations fiables sur le processus à suivre, aux « REPORTERS » de l’information ou bien aux « POSSESSEURS » de l’information ? Au « SIMPLE INFORMATEUR » qui REPORTE l’information ou au « MENTOR » qui POSSÈDE l’information et la partage effectivement ?

Réfléchissez à ceci un moment. Si vous avez à choisir entre un tableau original et une copie, que choisirez-vous ? L’original sans aucun doute. Mais pourquoi ? Parce que l’original ressort la pensée même, franche, brute, fraiche et vraie de l’auteur, car n’ayant subi aucune dilution, ni altération. Donc, et c’est un fait démontré et démontrable, plus on s’éloigne du tableau original moins les données sont fiables. De même, Plus on s’éloigne du possesseur même de l’information, plus cette information est diluée et modifiée par les différents filtres des reporters. En bout de ligne, l’information n’est plus la même et même pire, elle est devenue une désinformation purement et simplement.

Un autre exemple est ce petit jeu dans lequel participe un certain nombre de personnes. La première personne raconte une toute petite histoire de moins de 2 minutes à la deuxième personne, qui a son tour la raconte à la troisième et ainsi de suite. Au bout de la ligne, la dernière personne raconte l’histoire à la première personne qui à initié l’histoire. Résultat : une histoire complètement différente de celle d’origine. Et la situation empire plus il y a de personnes dans le jeu, parce que plus il y a de personnes, plus l’histoire se dégrade. Imaginer si c’est la connaissance ou la compétence que vous recherchez qui doit être ainsi transmise, à quelle place voudriez-vous être, la deuxième ou la 51e ? La première personne POSSÈDE l’histoire tandis qu’à partir de la deuxième personne on a affaire à des reporters de l’histoire, de simples informateurs. Alors de qui préfèreriez-vous l’information ? Des possesseurs sans aucun doute.

Maintenant essayé d’imaginer que l’informateur ou le reporter à un niveau de vocabulaire inconscient lamentable ! Ce sera clairement pour vous et tous ceux qui l’écoutent la catastrophe. Un aveugle qui guide des aveugles. Voilà ce que vous encourez à ne pas corriger votre vocabulaire inconscient. Parce que votre niveau de vocabulaire pourra vous permettre, si l’améliorez, de déceller plus facilement un reporter d’une véritable source; le vrai du faux. Investissez MAINTENANT dans votre VOCABULAIRE.

Alors… Vous avez besoin de mentor qui POSSÈDE l’information pour être sûr de la qualité de l’information qui vous est délivrée, afin que les résultats soient un succès et non un échec. Comment donc savoir si votre mentor que vous avez choisi a le vocabulaire intégré au niveau inconscient et qu’il le vit, qu’il est la source véritable de l’information et non un reporter ? Cherchez simplement SES RESULTATS.

S’il a des résultats dans sa vie de tous les jours, ce mentor là est la personne idéale, le meilleur décodeur de l’information qu’il vous transmet. Joignez-le !

LA MÉTHODE DE TRANSMISSION

« À l’école, j’ai découvert qu’un grand nombre de mes professeurs étaient de faux professeurs. En termes simples, ils ne pratiquaient pas ce qu’ils enseignaient. », ceci est un extrait du livre « Faux : Fausse monnaie, Faux professeurs, faux actifs: Comment des mensonges appauvrissent les pauvres et la classe moyenne » de Robert Kiyosaki . Il est vraiment déplorable que cela soit vrai. Maintenant essayé d’imaginer que les enseignants dans ces écoles ont un niveau de vocabulaire inconscient lamentable ! Vous comprennez maintenant ce que vous avez vécu à l’école et ce que vos enfants y vivent en ce moment. L’école d’aujourd’hui nous démontre sans aucune difficulté la plus grosse erreur de la transmission de l’information : la transmission à des masses. Vous devez délivrez vos enfants de cet enfer…

La méthode qui consiste à transmettre à des masses n’est pas la plus adéquate des méthodes de transmission de connaissances et de compétences. Un des ses nombreux handicaps est ce que Olivier Roland dit dans son livre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études« , quand il dit : « Passer des années à apprendre des choses dont pour l’essentiel vous ne vous servirez pas et qui vont s’échapper de votre cerveau sans vous avoir été utiles n’est pas ce que j’appelle une éducation très efficace. »

Dans ma région, à une certaine époque dans un passé pas si lointain, lorsque quelqu’un voulait devenir un mécanicien auto, il allait trouver un mécanicien auto et il devenait son apprenti. La transmission de connaissances et de compétences se faisait alors de personne à personne, de manière à s’adapter au besoin particulier de chaque individu, avec 2 certitudes au moins. Celle d’être à la bonne source de l’information et celle d’être certain que l’information apprise ne sera par oublié.

Le choix même du mentor était fait sur la base des résultats probants du mentor qu’on recherchait. La même chose pour devenir forgeron, maçon, charpentier, cuisinier, intellectuel, microbiologiste, etc. Les grands maîtres spirituels, philosophiques, scientifiques et autres que la terre a connu ont opéré de la sorte. Le mentor avait un nombre limité de personnes à qui il pouvait transmettre l’information de personne à personne. Jésus Christ (s’il a existé) avait ses 12 apôtres, Mahomet en avait, Bouddha, Socrate, Platon, Pythagore, Picasso et les non moins célèbre Newton, Darwin, etc., transmettaient ou recevaient de l’information de leur mentor ou à leurs apprentis de personne à personne, selon leur besoin et au moment opportun pour chacun.

Un mentor a cette capacité de savoir ce qu’il doit vous donner comme information et quand il doit vous la donner. Si vous n’êtes pas prêt, il ne vous la donne pas et si vous l’êtes, il vous la donne. Même mère Nature, au travers la famille, nous enseigne que c’est à un nombre limité de personnes que la transmission de l’information est efficace. Un parent qui à 200 enfants et un qui en a seulement 5 ne transmettrons pas les connaissances et les compétences avec la même qualité. Il est plus facile de former efficacement 5 personnes que d’en former efficacement 200. Vous pouvez l’observer chez les animaux de la basse cour, dans la forêt, comme dans les airs. La tortue marine par exemple qui elle ne forme pas ses petits, peut pondre plus de 200 œufs et le taux de survie dans le monde externe est extrêmement bas (exactement comme l’école d’aujourd’hui).

Ceci nous montre la valeur d’un suivi personnalisé. « Chaque fois que je veux apprendre quelque chose, je m’attelle d’abord à trouver un véritable professeur, quelqu’un qui pratique ce qu’il enseigne, le fait chaque jour, et qui réussit dans ce qu’il entreprend », dit encore Robert KIYOSAKI dans son livre « Faux« . Vous avez donc besoin de mentor de personne à personne pour être plus qualifié, pour avoir la meilleure information au bon moment et pour que vos lacunes soient facilement vues et corrigées. Le mentor vous enseigne efficacement la valeur des erreurs et comment les utiliser en votre faveur. Mais aussi vous pouvez voir en direct comment le mentor applique lui-même l’information qu’il vous transmet dans sa vie de tous les jours. Un mentor qui vous enseigne ce qu’il ne fait pas lui-même est un faux enseignant, un charlatan. Si vous copier une façon de faire incorrect, vous le ferez aussi de façon incorrect et les résultats seront tout aussi incorrects.

CONCLUSION

Notre croissance personnelle, notre But Précis et notre succès, dépendent en grande partie de la qualité de notre vocabulaire inconscient et du mentor que nous avons choisi. Nous avons donc la responsabilité individuelle d’augmenter la qualité de notre vocabulaire inconscient et de choisir avec soin le meilleur mentor qui soit, celui qui va faire éclore notre génie, celui qui va nous redonner notre liberté individuelle. Choisissez celui pour qui a les résultats qui prouvent de la qualité de son vocabulaire inconscient, celui qui vous enseigne en vous mettant devant votre responsabilité individuelle et celui qui vous guide en respectant votre liberté individuelle.

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