JE N’AVANCE PAS DANS LA VIE

Les origines

Pendant que nous avançons dans le cours du temps, souvent l’anxiété nous gagne et une sensation de stagnation nous envoûte et nous emprisonne. Nous pensons alors : «Je n’avance pas dans la vie.» Cette sensation je l’ai éprouvé plus d’une fois dans ma vie et je sais que plusieurs personnes et probablement vous qui lisez ceci avez à un moment ou à un autre éprouvé ce ressenti. Il n’est pas sale ni méchant, il n’est ni forcément ombrageux ni inutile. Il est là. Un point c’est tout.

Seulement son origine pour ma part ne fait aucun doute. Cette sensation naît du regard que nous portons sur nous en comparaison avec :

  • une autre personne,
  • une autre communauté,
  • un période de temps (souvent l’âge),
  • tout autre chose qui est souvent en dehors de notre capacité de contrôle (époque, civilisation, lieu de naissance, etc.).

On se dit alors des choses comme :

  • j’ai 40 ans et je n’ai pas encore une maison.
  • ma petite soeur est mariée et moi je ne parviens pas à trouver un partenaire.
  • à 16 ans les européens conduisent déjà leur propre voiture.
  • il y a 10 ans la Chine était un pays du tiers monde et aujourd’hui elle nous supplante.
  • etc.

Bien qu’il nous arrive souvent dans notre for intérieur de savoir que ces comparaisons sont une absurdité, cela reste une connaissance tacite tapis dans un coin de notre coeur ou de notre tête, qui pourtant ne nous empêche pas de continuer lesdites comparaisons, la mort dans l’âme.

Une fois de plus les maîtres mots sont : COMPARAISON MORBIDE. Le monde nous offre donc la compétition au lieu de la complémentarité, le conflit au lieu de la coopération, la rixe au lieu de l’entraide. Dans un premier temps on réussi à s’insurger contre cette vue superficielle de la vie, parce que notre être spirituel nous l’indique comme contre-nature. Puis avec douceur et de façon insidieuse on commence à se regarder a travers le miroir deformant de la comparaison, et ensuite cela devient une coutume.

La réalité est pourtant toute autre.

Le désir d’accumulation matérialiste est une compulsion de l’égo. On commence à s’identifier à nos possessions matérielles et à s’y accrocher à un point tel que leur absence nous met dans un état de manque quasi démentiel. Un(e) vrai(e) drogué(e). Et cela arrive même à ceux qui n’ont que très peu de possessions matérielles.

Le ver est déjà dans la mangue.

Cette dérive égoïque de la vie nous prive de notre belle liberté pour nous offrir une image fade de la vie. La vie est pourtant loin d’être une image fixe, elle est une mosaïque dynamique qui réunie toutes sortes de personnes aux désirs et rêves différents. Dans et pour la vie, la différence ne crée pas la désunion si la comparaison morbide ne s’invite pas à la fête. La différence crée la beauté, les nuances crées la diversité et la diversité crée la richesse. Il nous suffit d’observer le foisonnement des espèces vivantes et inertes autour de nous pour nous en convaincre.

Quand le sequoia affiche sa magnificence ce n’est guère pour impressionner le goyavier. Quand le rossignol émet sa mélodie ce n’est guère pour taquiner le lion. Quand le quartz affine ses rondeurs cela n’a rien à voir avec le gravier. C’est la belle symphonie de la vie qui s’épanouit en chacun à sa façon pour la beauté et l’harmonie. Le regard égoïque de la comparaison morbide est enfant du matérialisme ambiant et il ne faut absolument pas lui prêter le flanc. Les considérations matérialistes ne doivent pas vous donner l’impression que vous n’avancez pas dans votre vie.

Le chemin de chacun d’entre nous est différent. Certains sont lents d’autres rapides, certains marchent, d’autres courent, mais chacun suit sa béatitude. Dans son best-seller « Rendez-vous au sommet » (à lire absolument avant de mourir) et donc pouvez recevoir un résumé gratuit en PDF ou en vidéo, le regretté Zig Ziglar dit :

«La cinquième cause d’une mauvaise image de soi est l’injuste comparaison des expériences. Nous commettons généralement l’erreur de comparer notre expérience avec celle d’une autre personne. Nous exagérons la sienne et nous diminuons la nôtre.»

Zig Ziglar dans Rendez-vous au Sommet

Puis il nous fait réfléchir sur le fait que si 200 millions de chinois font tous les jours quelque chose que nous ne pouvons pas faire, c’est-à-dire parler le chinois, sont-ils plus intelligents pour autant ? Ou bien si 3 millions d’Australiens peuvent conduire à droite mais nous à gauche, un groupe est-il plus intelligent que l’autre ? Non.

Si tant est que cela est vrai que vous n’avancez pas dans la vie, n’est-ce pas parce que vous n’en avez pas défini clairement la destination ? Comment pouvez vous évaluer une avancée si la destination n’est pas clairement définie ? Votre responsabilité individuelle vous commande de vous poser ces questions et surtout de vous répondre à vous-mêmes avec sincérité. Si votre réponse est NON, alors… Fixez donc votre regard sur votre béatitude. Votre parcours est unique comme vous-mêmes. Votre chemin c’est vous qui l’avez tracé, suivez-le avec patience et constance. Effectuez de temps en temps, si le besoin s’en trouve, des réglages nécessaires sur vous ou sur vos plans pour ajuster votre mosaïque.

Mais si votre réponse est OUI, alors… Il est de votre responsabilité envers vous-mêmes et la Nature que vous définissiez d’abord clairement votre destination et puis que vous suiviez ensuite votre progression d’un jour en comparaison au précédent et/ou en prévision du suivant. Et si vous constatez que vous n’avancez pas vraiment dans la vie sur la base de la progression que vous avez prévu, alors analysez soit vous ou votre destination pour savoir lequel doit s’ajuster à votre béatitude.

Mais plus que tout, décidez que l’entourage ne doit pas vous dicter votre façon d’évaluer votre vie ni même votre valeur. Prenez la responsabilité individuelle de votre vie, et agissez avec votre liberté individuelle de décider des règles qui vont gouverner votre existence tout en privilégiant celles qui sont éthiques. Prenez la décision de banir la comparaison morbide. Vous valez plus que cela. Une chose est sûre : «Vous n’êtes pas en retard».

Un raccourci considérable

Quand beaucoup de personne entendent parler de raccourci, il se précipite en se disant qu’ils ont trouvé un ticket de loto ou alors le grain de haricot magique.

Rien n’est plus faux que de le penser à la suite de la lecture de ce sous-titre. Le raccourci n’est pas tant le fait de se précipiter que de gagner du temps.

La précipitation ne saurait pas vous donner les résultat escomptés tandis que gagner du temps emporte ici l’idée de faire les choses dans les normes avec un temps réduis pour fournir le maximum de résultat.

TechnoTutor offre cette possibilité, non de se précipiter mais de gagner du temps en ciblant avec précision les endroits sur lesquelles il faut fixer ses efforts pour aveoir des résultats précis et qui vous ferient gagner du temps.

Il serait injuste pour moi de minimiser l’angoisse que cela cause que de voir défiler les années tout en se rendant compte que nos efforts ne sont pas couronné de succès. Je sais de quoi il en retourne parce que je l’ai vécu et cela me reviens assez souvent encore dans le coeur.

Dans ce cas non seulement TechnoTutor offre la possibilité unique de neutraliser définitivement cette angoisse, mais il va aussi profond pour détecter ce qui crée le blocage et l’enlève pour que les performances que vous mettez dans vos actions pour accomplir vos buts soit à 100% correct. En plus la possibilité existe avec TechnoTutor de pouvoir redresser le tir si vous avez pris une mauvaise décision.

Avec cet outil révolutionnaire, les possiblités de faire avancer votre vie sur n’importe quel terrain, à n’importe quel âge et n’importe où sont simplement exponantielles. Un autre gros avantage c’est que toute votre famille peut l’utiliser.

Pour en savoir plus sur ce que cet outil peut faire pour vous et vos enfants, n’hésitez à aller prendre un Rendez-vous gratuit pour découvrir la solution à une vie qui n’avance pas.

Alors la balle est dans votre camp. Il ne tient qu’à vous de faire avancer votre vie.

Laisser un commentaire