Nous n’avons réellement aucune idée de ce que c’est que la liberté.
Je discutais avec des amis il y a quelques temps et ils soutenaient avec leur toute dernière énergie que la société (humaine) ne peut exister vraiment sans aucune forme de hiérarchie et d’autorité. Selon eux il faut qu’une société ait un gouvernement pour pouvoir exister et se développer.
Lorsque que j’ai demandé pourquoi selon eux il faut absolument une hiérarchisation dans la société humaine et une autorité, ils m’ont donné 2 réponses :
- Ils n’ont jamais vu une société sans hiérarchie et autorité gouvernante
- Une liberté de tout le monde entraînerait forcément le désordre et le danger
Ce raisonnement est typique de plusieurs sinon de la majorité de nos contemporains. N’avoir jamais vu ni entendu quelque chose est la preuve de son impossibilité. Et la liberté dans la tête de beaucoup est synonyme de danger, d’anarchie, d’abus de tout genre, etc., mais tout ceci ne participe que d’un conditionnement.
Nous sommes conditionnés dès notre enfance à valider ces deux raisons citées plus haut, sans aucun questionnement ni remise en question. Les gens oublient très vite que l’homme est capable de prouesses incommensurables comme envoyer l’homme sur la lune. Mais de pouvoir vivre sans société hiérarchisée avec une classe gouvernante, comment en est-on venu à penser que cela nous est impossible à réaliser ? Sur le simple motif que cela n’a jamais été vu ou fait auparavant ? Je rappelle à tous ces étroits d’esprit qu’avant que Neil Armstrong ne marche sur la lune, personne ne l’avait jamais fait auparavant.
Mais pourquoi des gens sensés utiliseraient-ils un tel raisonnement contre leur intérêt ?
Ils n’ont jamais vu une société sans hiérarchie
C’est le professeur Jean-Paul Pougala qui donne une réponse que je trouve la plus satisfaisante à cette question.
Dans son livre Géostratégie Africaine Tome 2, à la leçon de géostratégie N° 70 dit :
« Un peuple ne peut pas regretter ce qu’il n ‘a jamais connu. Cinq siècles d’esclavage des Africains par les Européens ont été très longs, trop longs. […] En effet, à bien y regarder, lorsque les premières générations d’Africains ont été défaites et réduites en esclavage, il est naturel que les deuxièmes soient nées, aient grandi et soient mortes dans l’esclavage. Elles ne pouvaient nullement regretter la liberté ou autre chose que leur servitude, leur seule et unique réalité. Et donc, une fois dépassé un certain nombre de générations, ils ne se sont même plus battus. Pourquoi l’auraient- ils fait ? Pour que l’objectif ? Puisqu’ils ne connaissaient que la servitude ?«
L’environnement a eu raison de la notion de liberté chez nos contemporains. Mais cela est aussi vrai pour le peuple européen et tous les autres, leur esclavage étant d’un tout autre type.
On ne peut regretter ce que l’on n’a pas connu.
Le désordre et le danger ?
Pour la deuxième raison qui veut que la liberté soit synonyme de danger, etc., c’est une insulte à Dieu, l’Univers ou la Nature (prenez ce qui vous plaît) qui nous offert cette liberté, que de lui dire qu’il nous a offert un danger, où tout autre synonyme que les gens rattachent à la liberté.
Dans son livre « A la Recherche de la liberté chrétienne » à la page 251, Raymond Franz s’exprime mieux que moi sur ce sujet et notez comment la clarté de son argumentaire est vraie : « le fait d’avoir de la peine à croire que les gens peuvent vaincre le mal s’ils ne s’entourent pas d’une barrière de lois, de règles, et de décrets, explique que beaucoup de personnes soient choquées à l’idée de ne pas être soumises à des lois, cela explique aussi qu’elles considèrent cette éventualité comme étant non seulement irréaliste, mais également dangereuse, pernicieuse, et pouvant conduire à la permissivité.«
Puis, donnant les résultats que peuvent produire un tel état d’esprit, il poursuit : « Un tel point de vue amène ces personnes à être facilement impressionnées et convaincues par les arguments de ceux qui souhaitent installer et imposer […] un système de réglementation destiné à régir la vie des [gens], un système que les hommes se chargent de faire respecter, par un “dispositif de contrôle légal”, et qui soit humainement “imposable” par un système judiciaire […]. »
Bien que beaucoup de choses puissent expliquer cet état d’esprit, le constat de cet auteur est très clair et sans équivoque.
Mais une fois de plus on voit la pâte invisible mais caractéristique de l’éducation.
La complexité
« Dans sa forme la plus simple, la compléxité peut être définie par ce que nous ne comprenons pas ou ce que nous avons du mal à comprendre. Quant à un système complexe, le psychologue Herbert Simon l’a défini comme « un système composé dun grand nombre de parties qui interagissent de manière non simple ».
Les systèmes complexes sont souvent caractérisées par l’absence de liens de causalité visibles entre leurs éléments, ce qui les rends pratiquement impossbles à prévoir.
Au fond de nous, nous avons le sentiment que plus un système est complexe, plus la probabilité est grande que les choses tournent mal et qu’un accident ou une aberration se produise et se propage. » Extrait de Covid-19 La grande Réintialisation de Klaus Schwab et Thierry Malleret
La conception de la liberté dans l’esprit de la plupart de nos contemporains est tellement complexe qu’ils y voient toujours un danger. Mais aussi et surtout, l’éducation qu’ils ont reçu leur a tellement enseigné et valorisé la servitude (qui est pourtant malveillante) que la liberté (qui est pourtant bienveillante) est devenue synomyme de danger.
Heureusement, on peut changer cette donne.
La solution
Quand on a la bonne définition d’un mot et la compréhension des notions, cela enlève toute notion de danger quelconque, réel ou imaginaire. Il faut néanmoins dire que le danger est généralement imaginaire.
C’est la meilleure façon de détruire la complexité, sauf que la définition de ces mots et concepts ne doit pas resté dans notre mémoire consciente mais dans notre programme cellulaire pour avoir une réelle signification dans notre vie.
Si via l’éducation on nous a inoculé la servitude, via cette même éducation, nous pouvons nous inculquer la liberté, la vraie liberté.
Il n’y a que via l’apprentissage que l’on devient une personne différente de celle dans laquelle on nous a forgé. Souvent il est trop tard quand on se rend compte de la duperie dans laquelle les années de servitudes nous entretenue. Mais pour bien des personnes, il est encore bien assez tôt pour reprendre en main le type d’éducation adéquat pour changer de vie.
L’incidence de l’éducation inadéquate et surtout de la répétition d’un mensonge fait qu’on arrive à prendre ce mensonge pour la vérité bien qu’il n’en soit rien. Seulement dans le cas des humains l’information s’est logé dans l’ADN et avec le travail l’épigénétique, le tour est joué et il est difficilement détectable.
TechnoTutor offre donc la réparation de l’ADN ainsi endommagé par des années de mensonges et de servitude mais aussi la neutralisation totale des peurs qui alimentent le quotidien des gens.
Grace à l’éducation qu’offre TechnoTutor, Vous pouvez retrouver votre liberté et surtout l’utiliser pour transformer le monde en lieu meilleur pour tous. Offrez-vous cet outil révolutionnaire ici et retrouvez la liberté que le monde vous a arraché depuis votre venu sur cette belle planète bleue.
Neale Donald Walsh a écrit dans son magnifique livre « Conversation avec Dieu Tome 3 » cette belle petite phrase : « Quand tu donnes de la liberté à une personne, tu écartes le danger, tu ne l’augmentes pas. » Il n’y a pas besoin d’y croire ou pas, c’est un fait. Le refuser n’est que la preuve d’un profond conditionnement ou d’une volonté de maintenir les autres dans la servitude. En fin je dirais ceci : Il ne tient qu’à nous de nous arracher de nos croyances limitantes pour savourer la vraie liberté.
Merci à Zenos Frudakis, à qui nous devons la bien nommée « Freedom Sculpture », que vous voyez sur l’image liée à cet article.